La saison 2023

 

Terres du Gatinais 2023

 

2ème journée : dimanche

 
 
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   Après une nuit bien reposante, il est temps de bien se réveiller et d’attaquer la journée du dimanche à fond !
   Nous sortons sans souci du parc pour une longue liaison qui nous mène à Pannes comme tous les ans. Une brève assistance histoire de faire le plein et nous avons déjà les retours des 4x4 qui sortent de la spéciale. Les champs de colza ont été visités et la carrosserie a souffert semble-t-il. Il se pourrait que la spéciale soit glissante. Cool. C’est une bonne nouvelle pour nous. Les puissances vont être nivelées.
   Nous verrons bien, c’est parti direction l’arrivée de la spéciale de Pannes de l’année dernière. Cette année, la spéciale est parcourue en sens inverse et a été rallongée pour totaliser un peu plus de 11km.

ES7 : Pannes 1 : le gros coup

   Au moment du départ, je suis prêt pour essayer de bien rentrer dans cette journée ! Le décompte est donné, c’est parti ! Le terrain est très bon, et j’ai un brin de réussite sur certains freinages qui nous amènent à faire des belles relances. Tout se déroule parfaitement avec le respect de la ligne de course, même sur un coin de bois très glissant responsable des traces de colza sur les 4x4 partis avant nous.
   La spéciale est superbe et se ponctue par un bois très détérioré et gras qui nous rappelle que nous sommes bien en Tout Terrain. La ligne est franchie, la cagoule est humide et en refaisant le point rapidement, difficile pour nous de faire beaucoup mieux, la découverte de l’état du tracé faisant partie de l’équation.
   Effectivement, au tableau d’affichage, notre temps est loin d’être mauvais. C’est confirmé par les chronos en ligne une fois au parc. Nous faisons le 2ème meilleur temps des 2RM et le 20ème chrono général sur 62 véhicules. Notre plus belle performance du WE. Avec 7’’ de prises sur Franco, c’est une excellente opération !

ES8 : Saint Maurice 1 : la tendance s’inverse

   A l’assistance, après une nouvelle chauffe inhabituelle, je décide de souffler le ventilateur même s’il n’y a pas trop de raison de le faire vu l’état du terrain…
   Bien m’en a pris. Le nez sur le radiateur, je remarque que les pales d’un des ventilateurs semblent de travers. Et pour cause, un roulement a lâché et le moteur est bloqué. Tout de suite, grosse pression, il faut changer le ventilateur. Evidemment, nous avons du mal à retirer une des vis fixant le châssis et les minutes s’égrènent très vite.
   Nous arrivons finalement à réparer in extremis. Dans la foulée, nous vérifions les fusibles. Effectivement, celui du ventilateur piloté par le boitier électronique est grillé. Nous le remplaçons, et c’est reparti !

   Sur le routier, la différence est notable, le moteur refroidi nettement mieux. Nous avons quand même été bien bêtes de ne pas avoir constaté cette panne plus tôt. Probablement la tête un peu ailleurs, et comme bon nombre d’équipages, nous prenons un coup de pression sur la liaison suivante menant au départ de la spéciale en nous trompant de chemin. Pointage dans la minute, nous sommes réveillés pour le départ, c’est le moins que l’on puisse dire.
   Le départ est donné et je soulage sur le début de spéciale sur les zones accidentées. Peut-être un peu trop ? Certaines portions sont très glissantes. Sans être parfaitement propre, cela pourrait être pire. Sur un pif/paf déjà compliqué à négocier, un bidon est en travers. Déjà engagé sur un côté (le bon, celui de la ligne de course), je dois beaucoup ralentir. Beaucoup de traces font le tout droit. Moins malin que les autres, je risque de perdre gros ici.

   Sur le dernier tiers de spéciale, Nicolas Lendresse est arrété nous rappelant que le rallye n’est pas terminé. Globalement nous ne sommes pas trop mal même si sur la fin de spéciale, Thierry lance le lave-glace et les essuies glace par accident sur un chaos. Le pare-brise est plein d’eau et j’ai du mal à garder le rythme. Nous ne perdons pas énormément mais je me déconcentre un peu. Nous franchissons finalement la ligne d’arrivée sans trop savoir ce que cela donnera.
   Une fois aux pointages, le chronomètre ne ment pas. Nous ne sommes pas trop mal, 4ème des 2RM, scratch en 2.0L, 23ème sur 57 au général mais à presque 9’’ de Franco. Nous reperdons notre avantage. Cette spéciale ne semble pas être à notre avantage contrairement à la première.

ES9 : Pannes 2 : on perd gros

   Pas de souci notable à l’assistance. Nous sommes sereins pour préparer notre entrée en parc de regroupement et notre départ vers la deuxième boucle.
   Après quelques minutes tranquilles, nous sortons du regroupement direction le départ de la 9. Je suis un peu piqué au vif du résultat de la spéciale n°8. Il va falloir se réveiller et mettre un coup de pression pour reprendre le large et dégouter un peu Franco de tenir le rythme pour les dernières.
   Le décompte est donné et c’est parti ! Le rythme est très bon, les freinages sont au maximum pour la plupart. J’en mets davantage qu’au premier passage tout en étant très propre sur chacune des courbes et équerres. Plus la spéciale défile, plus je me dis que nous sommes en train de faire notre spéciale référence sur ce rallye.

   Il nous reste la portion dans les bois, équerre droite, le moteur repart bien en 1ère, je passe la 2 et là le moteur s’étouffe étonnement. Je remets la première et il repart mais moins fort qu’habituellement. Houla, cela ne dit rien qui vaille. En même temps, pris dans l’action, le virage suivant arrive vite et il est gras, prudence. Je repasse la 1ère et au moment de repartir, cette fois nous sommes quasiment arrétés… je dis à Thierry « on a un souci avec le moteur, il ne donne plus ! ». Thierry n’a pas le temps de me répondre que je constate que j’ai le levier de vitesse sur la cuisse… là on a un gros souci. Je remets ce que je pense être la 1ère et je roule tant bien que mal sans rien toucher.

   Nous essayons de comprendre et au bout de 200-300m, je me concentre à ne pas sortir et conserver un maximum de vitesse malgré tout. Nous verrons plus tard. Le rythme est forcément largement imputé, nous sommes vraiment très lents sur les 1.3km restants… quel dommage ! Je dose jusqu’à l’arrivée pour ne pas éclater le moteur et nous franchissons la ligne d’arrivée.
   Aie aie aie aie aie !!! La tringlerie de boite est clairement cassée ! Comment est-ce possible !? Nous comprenons que nous n’avons plus que la 3ème ainsi que la 4ème vitesse. Gentiment, nous arrivons à rallier le pointage du parc d’assistance. Franco est juste derrière nous. Une fois descendus du véhicule nous comprenons. Le support de roue de secours a cassé et est venu casser la biellette permettant de trouver les vitesses 1-2 et 5. Nous n’avons plus que 3ème et 4ème d’avant en arrière.
   Franco se propose de suite de nous aider en préparant un membre de son assistance pour une éventuelle soudure de réparation. Merci encore pour ce beau geste qui démontre bien que le TT reste encore le TT ! De notre côté nous sommes à la fois déçus et préoccupés de ce que nous allons pouvoir faire. Les idées ne manquent pas pour remettre notre tringlerie au point. Pour le pointage, nous calons la 2ème vitesse pour aider l’embrayage à faire l’entrée au parc.

   Par curiosité, nous regardons quand même les chronos ! Et la surprise ! Alors que je disais à Thierry sur la liaison « Adieu podium ! Il était à nous, il ne l’est plus », nous sommes finalement toujours là ! Certes nous ne sommes que 5ème des 2RM, mais Franco ne nous reprend que 2.8’’ ! A seulement 18’’ du scratch, nous étions vraiment bien dans celle-ci. Après visionnage vidéo, la perte de temps s’élève à environ 15’’. Nous étions donc partis pour refaire le coup de la première spéciale de la journée.

ES 10 : Saint Maurice 2 : on donne tout

   A l’assistance, c’est un peu compliqué. Nous devons remettre notre tringlerie en place, c’est l’objectif n°1. Dans le même temps, il faut trouver le moyen de remettre notre roue de secours.
Sur le temps alloué, la tringlerie est ok. Concernant la roue, le support, déformé par la soudure, ne se monte plus du tout. Il va falloir rouler sans la roue de secours et l’installer à l’assistance d’après, faute de temps.

   Sur la liaison, nous avons quelques idées de comment nous allons nous y prendre. Quant à moi, je me familiarise avec le levier de vitesse qui se retrouve décalé sur la droite. Déjà toutes les vitesses passent, c’est une bonne nouvelle. Il me faudra juste faire attention à ne pas attraper la 1ère au lieu de la 3ème à cause du décalage latéral.
   Je sais que je suis moins bien sur cette spéciale. Pourquoi reste un mystère. Elle est un peu plus typée comme Lorcy Le Mont de la veille avec bon nombre de relances le long des bois. Peut-être que ces phases là ne nous avantagent pas ? Dans tous les cas il faut se mettre dedans et donner tout ce qu’on a pour essayer de conserver notre place.
   Dès le départ, nous retrouvons ce chemin particulièrement dégradé où je soulage, mais sur le reste, c’est quand même parti sur un bon rythme ! Je fais une légère faute sur un goudron reprise chemin avec trop de survirage, on perd un peu de temps dans l’affaire. A part ça, globalement le moteur et les freins sont exploités proche de la limite technique possible et de mes capacités propres. Je ne vois pas trop comment faire mieux.

   La partie finale arrive, certaines équerres sont passées en gardant un maximum d’allure et toute la partie finale est bien améliorée ! Dernière accélération et nous passons la ligne ! Dans le buggy nous avons le sourire, Thierry me félicite ! Ça a bien roulé ! Si on concède du temps c’est que Franco aura envoyé !

   Et on en concède du temps ! Quasiment 7’’, c’est énorme ! Nous faisons le 3ème chrono en 2RM, 1er des 2.0L mais cela ne suffit pas. Sur une piste qui sèche, nous avons du mal à lutter. Franco fait quasiment le scratch à 0.6’’ de Pierre Bozom leader. Au général notre avance s’amenuise. Nous ne sommes plus qu’à un peu plus de 2’’ devant !

ES11 : Pannes 3 ça envoie au maximum
 
   Nous sommes à l’assistance et le frère de Franco nous a bien soudé le support de roue de secours. Merci encore ! Notre ventilateur est en place et n’a pas bougé et les températures sont beaucoup plus correctes avec environ 100°C de température d’eau en fin de spéciale.
   Quelques bidouilles et nous replaçons finalement la roue de secours afin de nous remettre conforme au règlement du rallye. Nous sommes prêts pour la dernière boucle après un bref passage en parc de regroupement.

   Nous voici au départ de la dernière de Pannes. Normalement notre spéciale fétiche du dimanche. La piste s’est clairement asséchée et nous nous attendons à souffrir de notre boite H et notre rapport poids/puissance clairement moins flatteur que la concurrence.
   C’est parti ! Maxi attaque et maxi plaisir aussi sur toute la spéciale ! Les freinages sont à la limite absolument partout où je finis par relâcher les freins quasiment dans les virages sur chaque équerre. Les courbes sont prises en appui au maximum tout en restant le plus propre possible et en respectant les trajectoires de course.

   Nous arrivons sur la dernière partie de la spéciale où je soulage un peu dans les bois pour ne pas casser la mécanique qui souffre déjà énormément sur ces chemins. La dernière ligne en courbe est passée en 5ème avec un saut sur l’arrivée dans le goulet.
   Encore une fois, la cagoule est trempée et le souffle trahis l’intensité de la spéciale et la concentration. On se bat à 100% pour rester devant.

   Une fois au pointage je n’y crois pas, Franco est 2’’ devant nous ! Rrrhhhh il est rapide et a clairement haussé son rythme par rapport au deuxième passage !  Nous faisons le 3ème chrono en 2RM, 1er de classe et 16ème au général sur 47 prouvant le bon rythme dans celle-ci. Mais Franco et Anthony, toujours derrière nous ne sont plus qu’à 0.1’’ au général ! Tout se jouera dans la toute dernière spéciale !

ES12 : un final à bloc

   A l’assistance, on tente les pneumatiques avec la gomme tendre mi-usure sur l’avant du buggy pour essayer de gratter un peu de grip. Sur l’arrière nous gardons la monte utilisée jusqu’ici, un écrou de roue étant grippé suite à un démontage le samedi soir.
   Côté mécanique RAS, les soucis de chauffe sont terminés et tout semble OK. Nous partons sereins pour l’ultime spéciale du WE.
   Concentration au départ, je me refais la spéciale et essayant de voir où je peux gratter encore quelques pouillèmes. Parmi les passages, un particulièrement glissant doit être soigné après une descente le long d’un bois. Je garde en tête.
   Dernier décompte, 5..4…3……2……….1.GO ! C’est parti ! Premier freinage ultra tardif, ça part en travers, bien contrôlé et virage nickel. C’est bien ! Le départ est un régal, quel plaisir à rouler dans ces conditions !

   Arrive mon passage délicat. Je freine plus tôt pour ne pas commettre de faute et…. Je commets une petite faute, je survire alors que je voulais absolument rester propre ici…. Pas malin !
Sur la suite, ça roule fort et propre. Le buggy encaisse les trous au freinage de manière impressionnante et la confiance dans le châssis est bien là. Quelle différence par rapport à ce que nous avions il y a quelques années en y repensant.
   Sur une portion proche des fossés nous sommes clairement attirés par celui extérieur mais ça passe… le rythme est très élevé quand j’aperçois Tixier au loin avec son buggy bien jaune ! Une portion de bois va arriver, il va nous gêner, c’est sûr ! Je pousse à fond pour le rattraper avant le bois ! Clairement, on est à 1m de la sortie de route sur 3 équerres d’affilée mais ça passe. Là on est à bloc ! Arrive le bois, nous sommes à 100m de Tixier, je dis à Thierry : « C’est mort ! On est foutu ! » Et là Tixier, prévenu par quelques spectateurs venus à cet endroit, s’écarte et nous laisse passer pile à l’entrée du bois ! Dans le buggy c’est le soulagement, on va pouvoir se battre sans être gênés !

   Je reste concentré et la fin de spéciale est prise propre et à fond de nos capacités. Le moteur ne descend pas en dessous des 6000 trs/min et les rapports passés aussi vite que possible. Seule perturbation, les appuis à droite allument le voyant de pression d’huile. Je lâche le pied et anticipe au maximum pour préserver la mécanique, mais les dixièmes s’envolent ! Dernière équerre droite, dernière dégauge, j’élargie au maximum en m’appuyant sur le talus pour soulager la pression d’huile et c’est la dernière ligne droite, la pédale de droite est collée au planché ! C’est fait ! Nous passons la ligne d’arrivée en rupteur de 4ème pour conclure !
Les mains tendues vers le ciel vers notre bonne étoile, alea jacta este ! Nous verrons bien maintenant ! Nous sommes en 10’00’’5. Il faut que Franco fasse moins bien que nous et nous feront 3ème. Dans le cas contraire nous descendrons du podium. Je suis trempé arrivé au point stop, c’est la folie.

   Arrivés au pointage avant la dernière assistance, Jérôme Duparcq vient nous voir, il est en 9’50’’8. Aie, notre temps semble relativement lent ! Pierre Bozom est en 9’55’3, à peine 5’’ devant nous ! Nous ne sommes peut-être pas si mal ? Franco et Anthony arrivent finalement, et nous ne savons pas comment cela s’est passé pour lui avec Tixier ! Avant de s’arrêter au pointage, Franco a le point levé, ça pue pour nous. En effet, lui seul à l’information, partant après nous. Il est en 9’57’’7 soient 2.8’’ devant nous. C’est fichu pour nous, nous perdons notre 3ème place au pire moment. Pour le sport, Tixier a super bien joué le coup et s’est garé en sortie de bois sans gêner Franco dans son pilotage. Merci encore pour tout cela, rien n’a été gâché !

   Après un court débriefing tous ensemble, c’est l’heure pour la toute dernière assistance ! Jean Philippe nous attend avec la bière pour baptiser le buggy et fêter l’arrivée avec le reste de l’équipe et l’équipage Gomés/Floriant déjà sur place !

   Un peu d’émotions à ce moment-là, même si le rallye n’est pas encore terminé. Malheureusement, nous ne l’avons pas fait, nous ne ferons que 4ème, ce qui reste un superbe résultat malgré tout.
Une dernière liaison pour rallier le parc fermé de Corbeilles et c’est fait ! Nous sommes au bout de cette 17ème et sublime édition de 2023 !
 
Conclusion du rallye :

   Après une édition 2022 qui nous avait particulièrement sourit avec un podium, nous avions à cœur de bien figurer une nouvelle fois cette année. Sur une édition rendue bien plus technique par la pluie notamment le vendredi, les spéciales auront finalement été toutes différentes et en constante évolution au fur et à mesure du WE.

   Sur une piste de plus en plus sèche, nous nous faisons finalement chiper notre place sur un nouveau podium par l’équipe Martinez/Guillaumot qui le mérite également après de belles galères au Rallye des Collines d’Arzacq. Bravo à eux pour leur persévérance !
Finalement, nous rentrons au parc avec la 4ème place de groupe, une superbe 18ème place au général et la victoire en 2.0L suite au retrait en début de matinée de Nicolas Lendresse qui était bien sûr devant à la régulière.

  C’est donc très fiers d’avoir hissé nos couleurs et notre préparation maison que nous rejoignons notre équipe et buvons le verre de l’amitié avec les autres pilotes et en partageant nos moments chauds de la journée.

   Merci à nos assistants, sans qui nous n’aurions pas pu rouler, Maman, toujours présente au rythme de notre passion pas toujours facile à suivre, Jean Philippe qui sera venu pour la première fois nous aider dans cette belle aventure, et la Team Gomés et notamment Eric qui nous aura aussi filé un coup de main à l’assistance.

   Merci également aux nombreuses personnes, connaisseuses du milieu qui plus est, nous ayant félicitées pour notre performance du WE. Ces messages nous ont fait énormément plaisir et donnent largement envie de remettre ça !

   Bien entendu, ce résumé ne pouvait pas se conclure autrement qu’en faisant un clin d’œil à notre Bonne Etoile à nous, présente tout là-haut pour nous voir filer sur les chemins tout le WE. Notre meilleur supporter qui nous manque et qui devait forcément être à la fois déçu pour nous, mais aussi très fier de voir notre petite monture remporter la coupe en 2.0L et aller jouer avec les grosses mécaniques du Challenge 2RM !

   La page se tourne donc sur ce Terres du Gatinais 2023 qui aura été particulièrement réussi encore cette année autant sur la piste qu’en dehors avec des anecdotes plein les musettes. Anecdotes bien alimentées notamment par les nombreuses péripéties de la Team Gomés qui aura trouvé le moyen de re-tomber en panne à Saujon sur le retour à quelques kilomètres de l’arrivée et de la maison. Il fallait le faire !
   Il est l’heure maintenant de se tourner vers l’un de nos rallyes préférés, de retour en 2023 : Le Gers Armagnac, et avec de nouvelles évolutions sur la motorisation notamment si tout se passe bien, en collaboration avec CG Motorsport.



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