Une fois de plus, pour cette nouvelle saison, l’objectif est de courir au moins une fois dans l’année. Avec l’impossibilité de réaliser le rallye d’Orthez une nouvelle fois cette année, nous nous concentrons donc sur le rallye local, le Dunes et Marais. Ainsi se deroulait, les 12 et 13 Octobre 2013, la 36ème édition du célèbre rallye Dunes et Marais, toujours une des attractions de l'année dans le département. Grâce à une équipe restreinte mais bien organisée et plus que jamais dévouée à l'organisation, nous avons pu profiter d'un WE une nouvelle fois inoubliable!
Encore merci à tout le monde !!
Consultez l'article à partir duquel est tirée la photo en cliquant dessus:
Exposition du buggy :
Nous concernant, une semaine avant le rallye, après avoir fini la préparation du buggy, nous avons l’agréable possibilité d’exposer le prototype dans l’établissement E.Leclerc de Royan, grande surface très fréquentée de la ville. C’est l’heure de lustrer le véhicule pour faire honneur à cette proposition très sympatique.
Le voici dans le hall principal de l’établisement :
Article de presse :
De plus, en sollicitant nos amis photographes et vidéastes avant le rallye, nous sommes très heureux de recevoir une proposition d’interview de M.Georges Fontaine, rédacteur et photographe pour un petit journal électronique focalisé sur le pays royannais : Royan Actu. Après une petite entre-vue et quelques explications et retours historiques sur notre véhicule et notre team, l’article parait le 5 octobre, à un peu plus d’une semaine du rallye.
Retrouvez le lien vers l’article en question (en cliquant sur la photo), très bien écrit, et tout à fait dans notre état d’esprit et notre philosophie :
Le résumé de notre rallye :
Comme tous les ans, le rallye fait le plein de concurrents avec 116 partants soit le plus gros plateau de la saison. Cette année, malgré un temps plutôt pluvieux le samedi, et donc avec un terrain assoupli, pas moins de 37 abandons sont à déplorer dès le samedi soir. On retrouvera seulement 66 équipages à l’arrivée, notre petit buggy en faisant parti pour la 4ème année consécutive. Nous nous classons 41ème au général et 7ème de notre classe. C’est donc un super résultat pour nous, nous permettant de réussir un challenge fixé en début d’épreuve : finir 1er des véhicules montés en TXI.
Voici maintenant un petit résumé de notre course en image et vidéo bien entendu…
Avant de rentrer dans la compétition le samedi matin, le véhicule est passé aux traditionnelles vérifications techniques dans l'après midi du vendredi. C'est aussi l'occasion pour les spectateurs d'avoir un aperçu des prototypes présents cette année. Quelques images des vérifications et du "stickage":
Et la liaison sur la plage de Saint Palais/Mer :
L'entrée du parc fermé du vendredi :
E.S.1 :
En arrivant le vendredi soir de Toulouse, je vois que des trombes d’eau s’abattent sur la région accueillant le "Dunes et Marais" le samedi. C’est donc sans surprise que nous découvrons dès le samedi matin une spéciale de Meschers/Semussac un peu grasse et glissante.
Le temps de se mettre dans le rallye avec un pointage un peu chaud et nous voila au tout premier compte à rebourd du rallye : 30….10… et là, un commissaire nous indique que le harnais gauche de Thierry est mal positionné.. 9…8….7….6. Les secondes défilent, le harnais n’est toujours pas passé au dessus du Hans… 5…4….3…2…1 c’est bon, visiblement tout est ok. Le temps de poser la main sur le frein à main, d’accélérer, on aperçoit « -1 » à l’affichage. Go !! C’est parti pour cette première ES.
Premier virage prudent... deuxième..., et là on aperçoit notre pote Guillaume et son copilote Vincent arrétés sur le bord de la route. C'est déjà fini pour eux. Vraiment dommage pour une équipe sérieuse ayant préparé et essayé le proto bien avant le "Dunes et Marais". Nous sommes maintenant dans notre spéciale. Nous voyons déjà pas mal de buggys arrêtés sur le bord de la piste. Pour nous, tout fonctionne bien, ca glisse un peu mais Thierry maitrise parfaitement le véhicule pour aller faire un 55ème temps au général sur 107 ainsi qu’une belle 13ème place de classe sur 28.
Des images de cette première spéciale :
Voici la vidéo embarquée de la spéciale :
E.S.2 :
Nous voila maintenant dans ce qui sera le premier passage de la spéciale de St André de Lidon. Le tracé est un mélange des années précédentes et se retrouve être très sympathique avec des portions techniques, d’autres plus rapides, pour varier les plaisirs. Rien à signaler pour nous dans cette E.S., à part un plaisir partagé dans la voiture. Nous faisons le 68ème temps sur 100 au général et terminons 16ème de classe sur 26.
Une image de la spéciale :
E.S.3 :
Cette année, la spéciale de Cozes/Grézac a un nouveau visage. Les tracés ont changé et nous trouvons cette configuration à notre goût. Malgré un terrain demandant beaucoup de chevaux, nous arrivons à nous en sortir. Avec quelques mélanges frustrants dans les notes de ma part, la faute à une reconnaissance inexistante pour moi, nous perdons un peu de temps et du rythme dans ce premier passage, Thierry devant compter un peu sur lui-même sur quelques petites portions.
La plus grosse « frayeur » du rallye va arriver dans cette spéciale. Aux 2/3 de la spéciale, dans un bout de ligne droite, Thierry vois le voyant d'alternateur s'allumer. Un peu déconcentré par cette alerte, après un tout droit à quelques centaines de mètres de l’arrivée, Thierry sent une odeur de caoutchouc brûlé. Logiquement, on se dit que la courroie a sauté et qu’il suffira de la remplacer. Mais au moment de passer la ligne d’arrivée, le voyant s’éteint, se rallume, se met à clignoter. On se dit alors que c’est l’alternateur lui-même qui est en panne. N’en ayant pas de secours à l’assistance, nous commençons à cogiter… Finalement, arrivés au pointage, on remarque que la courroie est toujours en place et c’est juste « roulée », fonctionnant dans le mauvais sens. Plus de peur que de mal donc.
Nous réalisons le 75ème temps au général sur 98 et le 15ème temps de classe sur 24.
Une belle image signée M. Fabrice Lamaury :
E.S.4 :
Cette spéciale sera la meilleure de notre rallye au regard des temps. Ce sera aussi la plus grasse et la plus glissante. Au moment de prendre le départ, on se dit que cette spéciale risque d’être longue et un peu pénible, vu la pluie et les terrains déjà gras du matin. Et puis finalement, à bord de notre 2 roues motrices, les virages s’enchaînent plutôt bien, le moteur prend ses tours et on prend beaucoup de plaisir. Thierry contrôle bien le buggy, pas de tout droit ni de tête à queue et surtout de très bonnes sensations dans le véhicule.
Le petit frisson de la spéciale intervient à mi-parcours où l'on aperçoit Cyril et son coéquipier Pascal dans le gras, un peu avant le grand bout de goudron de 700m. Dans le champ juste avant le 90D sur goudron, sûrement la portion la plus grasse du parcours, nous voyons qu'il va être très difficile de passer si Cyril ne se range pas. Lui aussi est en difficulté et se balade de droite à gauche sur cette portion. Il va falloir se débrouiller à doubler au moment opportun. Thierry en train de contre braquer décide de doubler par la gauche et nous arrivons à passer entre la balise et le proto noir numéro 218 in extremis (c'était chaud). Je pense qu’ils doivent s’en souvenir aussi…
Après un final en glisse et contre braquage juste avant la ligne d'arrivée, en sortant de la spéciale, nous sommes contents de notre rythme sans savoir ce que ca donnera au chrono. On se dit que même si le temps n’est pas si bon, on se sera bien amusés dans ces deux passages de 15km dans Semussac. Et puis en regardant le tableau et en comparant les temps, le notre est loin d'être mauvais. En effet nous réalisons le 46ème temps sur 90 au général et le 6ème de classe sur 21.
Des photos de ce second passage :
La vidéo embarqué dans le prototype :
E.S.5 :
Nous voila maintenant dans le second passage de la spéciale de St André de Lidon. Comme tous les ans, elle s’est pas mal creusée par rapport au premier passage. Néanmoins, grâce à la pluie, le parcours est moins dur pour la mécanique qu’à l’accoutumée.
Certains passages restent quand même défoncés comme la descente le long du bois aux 2/3 du parcours. Nous essayons de garder un bon rythme sur toute la spéciale mais nous préférons économiser un peu la mécanique dans les endroits les plus chaotiques de manière à rallier le samedi soir dans une position qui ne serait déjà pas si mal après notre passage réussi dans Semussac. Nous sommes 61ème sur 86 et 16ème de classe sur 20.
Embarquez dans notre buggy :
E.S. 6 :
C’est déjà la dernière E.S. de la journée et nous avons du mal à y croire. La journée est passée très vite avec beaucoup de rythme dans et en dehors des spéciales. Au moment de prendre le départ, nous ne sommes pas vraiment « dedans ». Il nous faut quelques centaines de mètres pour prendre nos marques, et enfin prendre le rythme. Cette spéciale donne beaucoup d’adrénaline avec plusieurs sauts consécutifs :
D'abord un saut sur une marche en montée pour le plaisir des spectateurs (voir photo du dessous). Puis, le retour DU fameux saut en face du pylone, octroyant 1 seconde de pur plaisir en l'air, qu'il faut vite savourer avant un 90G très glissant et vite arrivé. Enfin, quelques centaines de mètres plus loin, une dernière marche en descente où le buggy retombe sur deux roues pour de supers sensations.
Cette fois, les notes sont dans le tempo tout au long du tracé et malgré une petite perte de temps sur la fin de la spéciale et ses champs gourmands en puissance, nous terminons très bien cette spéciale avec une 45ème place générale et un 9ème temps de classe sur 18.
Des images des passages les plus spectaculaires :
La vidéo embarquée de cette dernière spéciale du samedi
Au moment de rentrer au parc, nous sommes déjà super contents d’être là le samedi soir, le buggy confortablement installé derrière les grilles. Nous retrouvons une chaude ambiance à St Georges de Didonne, avec beaucoup de monde, la famille, les amis, les spectateurs et autres participants. C’est l’heure d’échanger avec passion sur les journées et anecdotes de chacun. C’est à ce moment que nous avons l’agréable nouvelle de découvrir que nous allons partir le dimanche en occupant la 43ème place au général sur 79 et une magnifique et inattendue 6ème place de classe sur 18. On jette alors un coup d’œil plus précis à ce classement et on se rend compte que des prototypes bien plus pointus que le notre partiront juste derrière nous le dimanche. Effectivement, Jeremy HEBERT et Coralie BLONDET étant à 0.1s partiront juste derrière nous avec leur Caze Renault suivis par la légende du Tout Terrain, Jean Pierre GONI assisté de Marion TOUZOT. On se dit alors qu’il sera très difficile, et même impossible de conserver notre position le dimanche sur un terrain chaotique et bien plus sec.
E.S. 7 :
Après être sortis du parc fermé, et après 20 minutes d’assistance, nous voila partis pour la spéciale de Jaffe, dans le sens anciennement appelé « inversée ». Pour démarrer, la liaison est assez chaude. En effet, nous nous retrouvons dans le trafic, les spectateurs partant de la spéciale et utilisant le même routier que nous. On use du klaxon pour se frayer un chemin dans la foule et pour pointer, chanceux, de justesse au départ de l’E.S. Malheureusement, tout le monde n’a pas notre chance. Effectivement, le Gembo numéro 151, normalement devant nous, pointe juste derrière après avoir été malencontreusement bloqué dans le même bouchon que le notre.
Avant même de démarrer notre journée du dimanche, nous sommes un peu préoccupés par notre moteur, « ratatouillant » et « pètant » sur le routier. Malgré tout, ça y est, nous y sommes, il faut se concentrer pour bien entamer la journée. Nous partons fort sur un chemin bosselé et rendu glissant par la pluie. Première équerre, et là, je vois Thierry se rendre compte que son filet n’est pas bien fixé. Le temps de s’en assurer, ce sont quelques précieuses secondes qui s’envolent. Durant la première moitié de la spéciale, nous peinons un peu à trouver notre rythme et sommes très frustrés de voir que notre moteur prend beaucoup de temps à relancer après chaque équerre, le pire étant dans l’épingle gauche du début de spéciale. Mais vers la mi-parcours, nous trouvons enfin un bon rythme nous permettant de rattraper un peu ce début de spéciale difficile. Malgré un passage chaud le long d’un maïs en fin de parcours, nous prenons tout de même beaucoup de plaisir dans cette E.S. toute en chemins rapides procurant les sensations de vitesse que l’on recherche en T.T. Nous finissons à la 59ème place sur 84 au général et 13ème place sur 20 ce qui reste un super résultat pour nous sur cette spéciale.
Voici deux images de la spéciale :
Comme si vous y étiez :
E.S. 8 :
Au moment de prendre la liaison pour l’E.S.8, un de nos problèmes de l’ES7 que je n’ai pas mentionné persiste. Notre embrayage se bloque régulièrement en position « débrayé » lorsque l’on démarre. Il va falloir démarrer brusquement pour s’assurer d’un bon embrayage lors du départ. Nous décidons aussi de basculer sur la deuxième pompe à essence pour voir si cela change quelque chose concernant notre moteur. Nous démarrons dans cette spéciale de Médis/Semussac relativement glissante à cause de la petite pluie fine du matin. A l’instar de Jaffe, les chemins rapides sont parfaits pour se faire plaisir aussi bien au volant qu’à côté.
Notre rythme n’est pas mauvais même si nous pensons pouvoir aller plus vite. Nous terminons 48ème sur 80 au général et 10ème de classe sur 20.
Des images de la spéciale :
La vidéo de la spéciale :
E.S. 9 :
Nous voila à cette fameuse spéciale de Maubeuge avec ses nombreux spectateurs et ses 3kms à faire à fond pour ravir les gens venus admirer le spectacle. Comme depuis le début de la matinée, la pluie nous accueille au départ de cette troisième spéciale de la journée. Il pleut maintenant depuis quelques minutes sur le terrain bien damé au moment de prendre le départ. Le départ ne souffre pas vraiment de la pluie. Mais certaines portions sont de vraies patinoires. Nous avons forcément le souvenir du second passage de la spéciale d’Arces de l’an dernier en tête. Dans les grandes lignes droites en pleins champs, nous passons les vitesses les unes après les autres sans avancer pour autant. Nous finissons avec un beau travers dans la dernière épingle, celle où la majorité des concurrents a fait le spectacle avec de superbes figures. Nous terminons cette courte spéciale assez loin au classement sans réellement avoir la sensation de pouvoir aller beaucoup plus vite dans la voiture, la pluie ne nous ayant visiblement pas favorisés. Nous sommes à la 64ème place sur 78 au général et 14ème de classe sur 19.
Quelques images durant cette 9èmespéciale :
Notre passage en vidéo embarquée :
E.S. 10 :
Pour ce deuxième passage, bizarrement, le moteur (depuis le changement de pompe) à l’air de respirer un peu mieux à la reprise à bas régime. Cette fois, pas de soucis de filet, tout est en ordre avant de prendre le départ. Nous partons avec un très bon rythme. Le moteur respire bien mieux, nous essayons de rouler aussi vite que possible même si nous sommes obligés de couper dans certains endroits défoncés balançant le buggy d’un côté à l’autre des chemins. Nous sommes à environ 2km de l’arrivée quand tout à coup, « silence radio ». J'entend Thierry me dire qu'il a du mal a me comprendre. Le son devient très faible et Thierry me fait signe qu’il n’a plus les notes. J’essaie de crier les notes et d’intensifier les gestes pour essayer de le guider au mieux malgré les circonstances. Nous perdons un peu de rythme mais faisons tout de même un chrono intéressant dans une spéciale très accrochée avec un 57ème temps sur 77 au général et un 16ème temps de classe sur 19 à seulement quelques secondes de nos concurrents directs.
Images de la spéciales :
La spéciale en caméra embarquée :
E.S. 11 :
Nous sommes très proches de la fin du rallye maintenant. C’est l’heure de profiter un maximum de ces dernières spéciales. Nous prenons le départ et attaquons assez fort sur la première moitié du parcours avant de lever un peu le pied. En effet, nous arrivons en courbe droite dans un champ en face d'une vigne, pour 50m 90G sur chemin, pour 400m dans un 90G. On prend de la vitesse et au moment du freinage on entend un gros choc faisant un bruit sourd à l’avant. On vient de talonner des deux côtés à l’avant dans un trou. Cela nous rappelle un peu à l’ordre et nous sommes contraints de lever un peu le pied sur certains passages délicats pour finir ce second passage avec une 55ème place sur 76 au général et une 15ème place sur 18 de classe.
A noter que nous sommes très contents d’avoir pu rouler sur un tracé bordé de nombreux spectateurs venus pour regarder les véhicules du premier au dernier en cette fin de week-end.
Nous sommes aussi tout heureux de voir que le buggy n’a pas de séquelle apparente au niveau du train avant lors de la pause assistance.
Nous voila dans Médis :
Vous voila à bord :
E.S12 :
Pour cette dernière spéciale, c’est l’heure de donner tout ce qu'il nous reste devant tous les spectateurs et les membres d’assistance restés pour regarder les derniers buggys ainsi que la remise des prix. Tout se passe pour le mieux dans cette spéciale, avec un terrain nettement plus sec et rapide que pour notre premier passage. Il y a beaucoup de monde sur le bord de la piste. Nous améliorons énormément notre temps pour sortir avec un 48ème temps sur 71 au général et une belle 12ème place de classe sur 17.
Les images :
La dernière vidéo embarquée de cette édition 2013 :
Conclusion :
Et voila, c’est fini pour ce magnifique Dunes et Marais 2013, une fois de plus très cassant. Comme à l’accoutumé, c’est un grand bonheur de passer l’entrée du parc fermé et de savoir qu’on arrive au bout d’une magnifique aventure après avoir traversé toutes les embuches de cette nouvelle édition.
Le buggy dans le parc :
La vidéo du rallye :
Nous terminons finalement à une superbe 41ème place au général sur 66 et 7ème de classe sur 14. C’est donc un rallye très réussi pour une équipe avant tout présente pour se faire plaisir et voir le bout du rallye.
Pour conclure, nous sommes aussi très heureux d’avoir rempli notre petit challenge personnel étant de terminer 1er des véhicules motorisés R21/25TXI. Ceci étant facilité par l’abandon de Guillaume dès l’E.S.1, celui même nous ayant fait échouer l’an passé pour quelques secondes. A noter aussi que le challenge ne fut pas si simple avec des temps canons de Frédéric CARMEL et son père Philippe le dimanche, qui auraient bien pu nous passer devant si notre avance du samedi avait été un peu plus faible. Bravo à eux pour leur dimanche exceptionnel !
Rendez-vous en 2014 pour de nouvelles aventures...
