Le "Dunes et Marais" 1991
Sommaire :
Voici des vidéos de l'édition de 1991 du fameux rallye Dunes et Marais. Mais avant, voici quelques lignes sur ce qui s'est passé dans ce D&M 1991 :
Cette année là, l’ASA Augias et l’écurie côte de beauté réalisent un bon coup en faisant le plein d’engagés (109 admis au départ de la course). Cette 14ème édition verra le retour de Calzavara qui réalisera un festival après une coupure d’environ 6 mois ainsi que de Briavoine ayant participé à des épreuves de rallye raid en 1990. Il revenait d’ailleurs sur un Fouquet qu’il n’avait pas eu de mal à prendre en main puisu’il avait déjà remporté le rallye des Cimes de cette même année.
Avant d’attaquer le rallye, Hubert et Fimbel sont au coude à coude pour aller chercher le titre, devant Pierre Philippe en embuscade et toujours mathématiquement en course pour le titre. Le dernier prétendant était alors Jacky Herbert, qui se trouvait à la 4ème place au championnat.
Les autres étaient là pour essayer d’aller troubler l’ordre établit comme Fabrice Rivet n°30 cette année là où bien Pachiaudi, revenant avec une nouvelle auto à mettre au point pour 1992.
Le samedi :
Le samedi, c’est Calzavara qui va calmer les ardeurs des plus motivés. Il va littéralement balayer la concurrence en s’imposant dans 5 des 6 ES du samedi, le plus souvent devant Briavoine le seul réellement en mesure de suivre le rythme imposé par l'homme au Fouquet jaune. A noter que Philippe fut écarté dès la 2ème spéciale, la cause à une casse moteur, donnant déjà des signes de fatigue lors des deux premiers secteurs chronométrés. C’est Fimbel qui se classe 3ème du samedi bien qu’il soit déjà relégé à plus de 2' de Calzavara. Hubert et Pachiaudi complètent le top 5 très loin du leader avec 3'20 et 4'20 de retard.
Du côté des abandons notables, on retrouve Jacky Herbert qui n’aura pas eu beaucoup de chance cette année là. Après seulement quelques kilomètres de course (dans l’ES1), des tonneaux à très haute vitesse stoppent rapidement ses chances d’aller batailler les places d’honneur. Une casse moteur dans cette même spéciale empêchera Estienney de se méler à la lutte malgré une belle 8ème place scratch au test.
Du côté des 2RM (groupe 5 classe 3), c’est B.Garat qui va rentrer le samedi au parc avec la première place. Mais attention, il est suivi de très près par Sauzede et Boivineau, respectivement à 18" et 46". Goni et Garicoix complètent le top 5 en étant à 3'22" et 4'07" de Garat.
Le dimanche :
Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Alors que Calzavara avait littérelement effrayé ses concurrents la veille, il va connaitre un dimanche des plus difficiles et ne verra finalement pas l’arrivée sur choix personnel. Effectivement, la journée commence bien mal avec 49" de lachées d’entrée dans la première du dimanche. Et ce n’est pas fini. Dans la spéciale suivante, il lâche plus d’une minute suite à des tonneaux. Après des déboires dans la spéciale suivante et la perte d’une roue, et des temps très moyens dans les suivantes, il décide d’arréter là en se promettant de mieux faire en 1992.
Le normand Briavoine se retrouve donc seul en tête. Il gardera cette position jusqu’à la fin après une belle maitrise de la concurrence. Derrière lui, c’est finalement Fimbel qui prend le meilleur sur Hubert dans la lutte pour le titre final. Hubert, surprise de cette année 1991, compte alors seulement 8 points d’avance avant d’attaquer la toute dernière épreuve : le Plaines et Vallées 1991. Au général, le top 5 est complété par Pachiaudi et Capin ayant contenus les asseaux répétés de Ardurats et Iribaren.
Pour finir, du côté des 2RM, Garat parvient à concerver sa place de leader au terme d’un rallye très sérré dans cette classe. Terminant 11ème au scratch, il devance Goni 12ème et Garicoix 13ème, respectivement 2ème et 3ème du groupe 5 classe 3. A noter les belles performances de Méchin et Oudin qui viennent se classer 4ème et 5ème de cette catégorie à forte concurrence à l’époque.
Cette année là, l’ASA Augias et l’écurie côte de beauté réalisent un bon coup en faisant le plein d’engagés (109 admis au départ de la course). Cette 14ème édition verra le retour de Calzavara qui réalisera un festival après une coupure d’environ 6 mois ainsi que de Briavoine ayant participé à des épreuves de rallye raid en 1990. Il revenait d’ailleurs sur un Fouquet qu’il n’avait pas eu de mal à prendre en main puisu’il avait déjà remporté le rallye des Cimes de cette même année.
Avant d’attaquer le rallye, Hubert et Fimbel sont au coude à coude pour aller chercher le titre, devant Pierre Philippe en embuscade et toujours mathématiquement en course pour le titre. Le dernier prétendant était alors Jacky Herbert, qui se trouvait à la 4ème place au championnat.
Les autres étaient là pour essayer d’aller troubler l’ordre établit comme Fabrice Rivet n°30 cette année là où bien Pachiaudi, revenant avec une nouvelle auto à mettre au point pour 1992.
Le samedi :
Le samedi, c’est Calzavara qui va calmer les ardeurs des plus motivés. Il va littéralement balayer la concurrence en s’imposant dans 5 des 6 ES du samedi, le plus souvent devant Briavoine le seul réellement en mesure de suivre le rythme imposé par l'homme au Fouquet jaune. A noter que Philippe fut écarté dès la 2ème spéciale, la cause à une casse moteur, donnant déjà des signes de fatigue lors des deux premiers secteurs chronométrés. C’est Fimbel qui se classe 3ème du samedi bien qu’il soit déjà relégé à plus de 2' de Calzavara. Hubert et Pachiaudi complètent le top 5 très loin du leader avec 3'20 et 4'20 de retard.
Du côté des abandons notables, on retrouve Jacky Herbert qui n’aura pas eu beaucoup de chance cette année là. Après seulement quelques kilomètres de course (dans l’ES1), des tonneaux à très haute vitesse stoppent rapidement ses chances d’aller batailler les places d’honneur. Une casse moteur dans cette même spéciale empêchera Estienney de se méler à la lutte malgré une belle 8ème place scratch au test.
Du côté des 2RM (groupe 5 classe 3), c’est B.Garat qui va rentrer le samedi au parc avec la première place. Mais attention, il est suivi de très près par Sauzede et Boivineau, respectivement à 18" et 46". Goni et Garicoix complètent le top 5 en étant à 3'22" et 4'07" de Garat.
Le dimanche :
Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Alors que Calzavara avait littérelement effrayé ses concurrents la veille, il va connaitre un dimanche des plus difficiles et ne verra finalement pas l’arrivée sur choix personnel. Effectivement, la journée commence bien mal avec 49" de lachées d’entrée dans la première du dimanche. Et ce n’est pas fini. Dans la spéciale suivante, il lâche plus d’une minute suite à des tonneaux. Après des déboires dans la spéciale suivante et la perte d’une roue, et des temps très moyens dans les suivantes, il décide d’arréter là en se promettant de mieux faire en 1992.
Le normand Briavoine se retrouve donc seul en tête. Il gardera cette position jusqu’à la fin après une belle maitrise de la concurrence. Derrière lui, c’est finalement Fimbel qui prend le meilleur sur Hubert dans la lutte pour le titre final. Hubert, surprise de cette année 1991, compte alors seulement 8 points d’avance avant d’attaquer la toute dernière épreuve : le Plaines et Vallées 1991. Au général, le top 5 est complété par Pachiaudi et Capin ayant contenus les asseaux répétés de Ardurats et Iribaren.
Pour finir, du côté des 2RM, Garat parvient à concerver sa place de leader au terme d’un rallye très sérré dans cette classe. Terminant 11ème au scratch, il devance Goni 12ème et Garicoix 13ème, respectivement 2ème et 3ème du groupe 5 classe 3. A noter les belles performances de Méchin et Oudin qui viennent se classer 4ème et 5ème de cette catégorie à forte concurrence à l’époque.
1ère partie :
2ème partie :
3ème partie :
4ème partie :
